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Le saviez-vous?
En 1872, Edward MUYBRIDGE (1830-1904),
photographie Le galop de Daisy, à l'aide de plusieurs
appareils photographiques se déclenchant avec un temps de décalage.
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En 1878, une polémique emflamme
le milieu des courses de chevaux.
Le physiologiste français Etienne-Jules
Marey affirme qu'au galop, il est un temps où aucun des membres du
cheval ne repose au sol. Le Gouverneur Leland Stanford, promet
une
prime à celui qui tranchera la question. Edward Muybridge disposant
24 appareils photographiques le long d'un champs de course, obtiend ces
clichés apportant la preuve que la théorie de Marey est juste.
En 1879, Muybridge met au point un appareil
de projection, le Zoopraxiscope, qui permet la reconstitution du
mouvement par la vision successive et rapide de ses différentes phases.
Il est un précurseur du cinéma, et pionnier des travaux sur la
décomposition du mouvement, et la locomotion.
Ci-dessous:
Planche 626 extraite de l'ouvrage "Complete
Human and Animal Locomotion" par Edward Muybridge, paru en 1887.
Titre: "Annie G." Galloping |
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Le saviez-vous?
St Eloi, orfèvre de métier, fut maître de
monnaie, et conseiller du Roi ClotaireII. Ministre des Finances sous
Dagobert,
il devint plus tard, évêque de Noyon.
Une de ses légendes raconte qu'il avait été
Forgeron. Homme orgueilleux, son enseigne portait la mention "Maître de
tous".
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Harassé de travail, il dut embaucher un
jeune apprenti, qui se montra assez surprenant.
Un jour, pour ferrer un cheval plus
commodément, celui-ci avait scié la jambe de l'animal, cloué le fer au
sabot,
et l'avait ensuite replacé, comme par miracle.
Alors qu'un riche seigneur, lui demandait
de ferrer son cheval prestement, Eloi n'hésita pas, "Maître de
tous", il pouvait, si ce n'est plus, en faire autant que son apprenti.
Il
scia le membre du cheval afin de travailler plus vite, mais lorsqu'il
voulu
le remettre en place... point de miracle! Il appela son apprenti, qui
replaça la jambe, sauvant le pauvre animal de justesse.
Un tel prodige, ne pouvant être que
le fait du Christ, en personne, Eloi comprit la leçon et brisa son
enseigne.
Le restant de sa vie, pieux, honnête, et
vertueux, il s'employa à prêcher l'évangile, convertissant un grand
nombre de Païens.
Il mourut, aimé de tous.
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Saint patron des Orfèvres, Forgerons et
Maréchaux-ferrants, St Eloi est aussi celui de tous les corps de métier
ayant rapport aux chevaux, qui se placèrent sous sa protection.
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Le saviez-vous?
Saint Georges, ou Georges de Lydda,
serait né en Cappadoce (Turquie) dans une famille chrétienne vers l'an
275.
Il devint officier dans l'armée romaine, puis l'empereur Dioclétien
l'éleva au plus haut grade militaire.
Il fut supplicié et finalement décapité lors des persécutions
des chrétiens en l'an 303.
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Sa légende raconte qu'un jour alors qu'il
passait près d'une cité, il rencontra une jeune princesse sur le point
d'être sacrifiée à un terrible dragon.
Georges voyant la jeune fille seule au bord
de l'eau, tandis que tous les gens de la cité étaient rassemblés au
loin pour l'observer, lui demanda des explications.
Un dragon terrifiait la cité
depuis longtemps, et il fallu lui donner chaque jours deux brebis à
manger pour le tenir éloigné.
Lorsque les animaux vinrent à
manquer, ce fut le tour de jeunes gens que le sort désignait.
Aujourd'hui, c'était elle, la
fille du roi, qui avait été désignée.
La jeune femme supplia
Georges de sauter sur son cheval pour fuir, car il ne pourrait la
sauver, et mourrait avec elle.
Au moment ou la tête du
dragon apparut à la surface, Georges sauta sur son cheval, fit le
signe de la croix, se recommanda à dieu, et attaqua la bête
qui s'avancait déjà.
Armé de sa lance, il frappa
violemment le dragon qui s'effondra sur le sol. A cet instant il
demanda à la jeune femme de jeter sa ceinture au coup de l'animal, ce
qu'elle fit.
C'est ainsi que le dragon
resta pour toujours, attaché à la princesse, comme un chien à son
maître.
Par la suite, lors des
persécutions des chrétiens, Georges fut supplicié. Jamais, il ne
renonça à sa foi, et survécu miraculeusement à de graves blessures. Il
fut finalement décapité.
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Héros chevaleresque par excellence, Saint Georges
est le saint patron des chevaliers,
de l'armée blindée française et de la cavalerie, il
est également celui de l'équitation française descendante de la
tradition militaire.
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