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Retrouvez dans
cette rubrique
un aperçu des pathologies rencontrées, et éventuellement
des orthopédies misent en oeuvre.
Abcès en talon:
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Ici un abcès a été décellé
au parrage. Curé, puis désinfecté,
il a ensuite été protégé
au moyen d'un gros pansement de coton.
Des bains de javel diluée ont été
prescrits.
Le fait d'ouvrir un abcés, procure
généralement,
comme ce fut le cas ici,
un soulagement immédiat.
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Déviation articulaire:
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Ce cheval
souffre d'une déviation
articulaire sur son postérieur gauche.
On dit qu'il est varus du boulet.
Lorsque ce cheval a été pris à la
ferrure, seul le quartier externe du pied était en appui sur le
sol; De ce fait la muraille de ce côté est verticalisée
et pousse moins, tandis que le quartier interne, sans la moindre
contrainte,
pousse anormalement. Sur un cas comme celui-ci, il est inutile, voir
dangereux
de vouloir changer l'applomb. Il fallait faire en sorte que la
totalité
de la surface du pied repose au sol. Aussi, à chaque ferrage, seul
le quartier externe en contact avec le sol a été paré.
Aprés trois ferrures, la surface du pied repose, désormais
entièrement au sol, y compris en fin de ferrure (photos 1, 2, et
3).Il est indispensable de mettre le maximum de garniture du côté
chargé, afin de réaligner l'appui. Par chance dans ce cas
précis, il s'agit du côté externe. (photo 4 et 5). |
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Cheval panard:
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On s'aperceoit que les deux pieds se
trouvent à
l'extérieur de la verticale des membre. Il sont tous deux tournés
vers l'extérieur. Le cheval charge énormément les
parois internes de ses pieds
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Usure excessive:
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Voici un
exemple du cheval
qui ne peut rester deferré.
Ce cheval de type selle, avait été déferré
des postérieurs à la demande de ses propriétaires,
afin qu'il ne glisse pas sur la route empruntée pour partir en
promenade.
On peut apercevoir en pince,
la texture caractéristique d'un pied trop
usé
(photo 1).
Une ajusture à été pratiquée
sur le fer mécanique (photo 2).
L'ajusture consiste à refouler une partie
du métal
afin de limiter l'appui du fer sur une sole
sensible
(photo 3).
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Seime descendante: Seime quarte
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Ce
cheval à ouvert
une seime sur l'externe de l'antérieur droit.
La seime à été dégagée,
le pied paré puis ferré (photo 1, 2, et 3).
Des agraffes ont été posés afin
de maintenir les deux bords de la seime (photo 4).
Un antiseptique a été appliqué (photo
5), et le pied est enroulé d'une solide bande adhésive pour
le maintenir (photo 6). |
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Fourbure: Ânesse
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Cette
petite ânesse
blanche
souffre de fourbure chronique.
Ses pieds pourtant parés régulièrement
poussent trés rapidement en pince.
L'aspect de la ligne blanche est
caractéristique
(photo 1). |
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Molettes:
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Si les molettes sont très
disgracieuses, la
plupart du temps,
elles ne sont pas douloureuses.
Ici un cas de molettes assez admirables
de part leur
dévellopement.
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Fourmilière:
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La fourmilière est dûe à des
organismes anaérobies
(vivants sans oxygène), qui rongent la
ligne blanche.
Sur la photo 1, on peut voir l'aspect
poudreux caractéristique
de la ligne blanche atteinte avec, ici, un important décollement
de la paroi.
Cette maladie, fréquente chez les ânes,
se développe de façon insidueuse car elle ne provoque des
douleurs qu'à un stade avancé. Il est important de la déceler
rapidement car le remède consiste à décortiquer les
parties atteintes comme on le ferait sur une pomme pourrie.
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ouverture de la fenêtre vous pourrez faire un zoom sur le pied.)
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Fourmilière:
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Comme il est dit plus haut, la
fourmilière
est dûe à des organismes anaérobies (vivants sans oxygène),
qui rongent la ligne blanche.
Dans le cas de cette ponette, c'est une
pince laissée
trop longue sur plusieurs ferrures qui avait distendue la ligne blanche
permettant la colonisation par ces micro-organismes.
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